Victimes de violence par armes à feu
Six enquêtes publiques ont explicitement recommandé l’octroi de permis pour les propriétaires d’armes à feu et l’enregistrement des armes pour réduire les risques de voir survenir de nouvelles tragédies. De nombreuses recommandations ont été formulées pour renforcer les procédures d’évaluation et réduire la période de renouvellement. Ces enquêtes comprennent l’enquête sur le décès de Jonathan Yeo qui a tué Nina de Villiers et Karen Marquis, l’enquête sur le meurtre des enfants Kassonde, du journaliste sportif Brian Smith et d’Arlene May, l’enquête sur la fusillade à OC Transpo, ainsi que l’enquête sur la tuerie de Vernon où Rajwar Gakhal et huit membres de sa famille ont été tués par son mari, dont elle était séparée.
Les victimes de violence par armes à feu, leur famille et leurs amis ont souvent été les premiers à défendre un contrôle efficace des armes au Canada, souhaitant épargner aux autres les souffrances qu’ils ont endurées et souhaitant mettre en évidence les coûts réels de la violence armée. Découvrez pourquoi les victimes estiment que le contrôle des armes est un outil important pour la prévention des crimes.
Au fil des ans, les victimes de violence par armes à feu ont témoigné devant de nombreux comités parlementaires, se sont exprimées dans les médias, ont écrit aux élus et ont continué le combat jusqu’en Cour Suprême pour défendre un contrôle strict des armes au Canada. Lisez des extraits de leurs témoignages forts ici, en opposition à l’affaiblissement de nos lois sur le contrôle des armes.