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Témoignages de victimes

« Avec le projet de loi C-19, nous laissons le lobby des armes dicter le type de société dans laquelle nous voulons vivre, une société qui régresse de manière irréversible vers un accès plus facile aux armes à feu, ce qui résultera sans aucun doute en plus de vies et de familles détruites par le simple appui d’une gâchette. »
- Nathalie Provost, victime de la tuerie de l’École Polytechnique de Montréal

« Les ravages et le traumatisme causés par la perte d’un être cher par suite d’un crime violent sont énormes. Le préjudice pour les victimes qui ont à subir un tel fardeau peut être de différents niveaux, notamment affectif, mental, physique et pécuniaire. Si la façon de réagir à la tragédie diffère d’une victime à l’autre, toutes les victimes entrées en communication avec mon Bureau disent la même chose : elles souhaitent que personne d’autre n’ait à vivre ce qu’elles ont vécu. Le registre des armes d’épaule est un outil pouvant grandement aider les forces de l’ordre à prévenir la victimisation. »
- Sue O’Sullivan, Ombudsman fédérale pour victimes d’actes criminels, Bureau de l’ombudsman fédérale des victimes d’actes criminels

« Après le meurtre de ma fille, j’ai assisté pendant cinq mois à une enquête publique, les yeux rivés sur la devise d’un des coroners : Ce que la mort d’une personne nous apprend pourrait sauver la vie de nombreuses personnes. Voilà pourquoi il y a un contrôle des armes à feu. Voilà précisément pourquoi nous travaillons tous à mettre en place des mesures de contrôle. Cette question n’a jamais été de nature politique pour moi ni pour quiconque représente les victimes et les personnes vulnérables. »
- Priscilla de Villiers, dont la fille Nina De Villiers a été enlevée et tuée avec une arme d’épaule

« Ma mère m’a toujours dit qu’au Canada, nous prenons la possession d’armes au sérieux, et que, même si elle n’est pas parfaite, la législation actuelle appuie cette approche tout à fait canadienne. Elle n’est pas parfaite, mais nous pouvons y travailler. Ma mère était fière de travailler dans un pays où l’on œuvre à la prévention de la violence par les armes à feu en informant les gens, en jouant un rôle de chef de file à l’échelle internationale et en appliquant un système judiciaire qui protège les plus vulnérables.

Qu’il s’agisse d’une tragédie nationale ou d’une seule victime, si vous aviez la possibilité d’empêcher une mort provoquée par une arme à feu, ne le feriez-vous pas? Si vous disposiez d’outils pour faire appliquer la justice après une mort violente, les utiliseriez-vous ou est-ce que vous vous en débarrasseriez? Le registre des armes d’épaule fait partie de ces outils. Le projet de loi va permettre que d’autres familles connaissent le même destin que moi et que d’autres personnes trop nombreuses avons connu ce jour-là en Virginie. Je demande humblement au comité de réévaluer le projet de loi C-19 et les modifications qu’il contient dans leur ensemble. »
- Francine Dulong, dont la mère Jocelyne Couture-Dulong a été tuée lors de la tuerie de Virginia Tech aux États-Unis

« À la Dawson Student Union, nous sommes habitués d’entendre le vieil argument selon lequel le registre n’a pas empêché la fusillade qui a eu lieu dans notre école. Nous répondons aux cyniques que c’est précisément ce que nous avons vécu qui nous a incités à étudier soigneusement tous les aspects de la question. C’est par amour et par empathie pour les victimes et les survivants d’actes de violence commis avec des armes à feu que nous sommes venus témoigner devant vous. »
- Mathieu Murphy-Perron, directeur général, Dawson Student Union

« Une chose est certaine: les modifications proposées dans le projet de loi affaiblissent fondamentalement les dispositions relatives au permis. Cet affaiblissement est seulement un élément de plus qui amènera toutes les cessions d’armes à feu sans restriction à se produire dans l’ombre, en marge de tout cadre juridique structuré, sans qu’il n’y ait de trace écrite concernant l’identité des personnes qui achètent des armes d’épaule, le type d’armes vendues ni le fait qu’une vente ait même eu lieu. C’est grâce à ce cadre juridique que les policiers peuvent détecter les ventes illégales, les signaler et intenter des poursuites, car les ventes sont effectuées à l’extérieur du cadre juridique que le projet de loi vise maintenant à supprimer.

Sans ce cadre, un particulier pourra accumuler une grande quantité d’armes à feu sans restriction — et vous avez vu le genre d’armes qui peut en fait appartenir à cette catégorie — sans déclencher d’alarme auprès de la police. Il sera donc plus facile pour les personnes ayant des intentions dangereuses d’accumuler des armes à feu. »
- Heidi Rathjen, Groupe des étudiants et diplômés de Polytechnique pour le contrôle des armes (Polysesouvient)

« Je ne comprends pas pourquoi on s’apprête à détruire un système en place et qui fonctionne plutôt que de chercher à l’améliorer. Il m’est insupportable d’entendre que les plaintes concernant les quelques minutes requises pour enregistrer un fusil sont plus importantes que la protection des citoyens, la prévention de drames et la résolution des crimes. Je trouve incompréhensible qu’on propose de retirer non seulement la plupart des nouvelles mesures introduites suite au massacre de Polytechnique, mais aussi une des modestes mesures qui existait déjà en 1989, soit l’obligation de tenir des registres de vente dans les commerces, mesure qui avait permis d’identifier le tueur car il n’avait pas de pièces d’identité sur lui. »
- Benoît Laganière, Groupe des étudiants et diplômés de Polytechnique pour le contrôle des armes (Polysesouvient)

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